Eugène Grasset, Calendrier "La Belle Jardinière", Mars 1896 |
Hier encore j’avais vingt ans
Je caressais le temps
Et jouais de la vie
Comme on joue de l’amour
Et je vivais la nuit
Sans compter sur mes jours
Qui fuyaient dans le temps
J’ai fait tant de projets qui sont restés en l’air
J’ai fondé tant d’espoirs qui se sont envolés
Que je reste perdu ne sachant où aller
Les yeux cherchant le ciel, mais le cœur mis en terre.
Je caressais le temps
Et jouais de la vie
Comme on joue de l’amour
Et je vivais la nuit
Sans compter sur mes jours
Qui fuyaient dans le temps
J’ai fait tant de projets qui sont restés en l’air
J’ai fondé tant d’espoirs qui se sont envolés
Que je reste perdu ne sachant où aller
Les yeux cherchant le ciel, mais le cœur mis en terre.
A memória de um tempo vivido emerge, sem aviso e sem comando, em resposta a um estímulo exterior. Chega apenas para revolver um retábulo dessas lembranças que vivem guardadas em nós.
Assim foi . Ao ler, num jornal francês , uma notícia sobre franceses reformados que escolheram o Algarve para viver , com referências à canção francesa , um clic disparou e levou-me a um tempo distante. Tempo em que a canção, em língua francesa, estava em força e em voga.
Eis algumas:
Charles Aznavour , em Hier encore
Edith Piaf, em Hymne à l'Amour.
Jacques Brel, em La valse à mille temps.
Georges Moustaki, em Le Métèque (Audio Officiel) , 1969.
Gilbert Bécaud, em Je reviens te chercher.
É bom recordar os grandes músicos dos anos 60, quando a frança estava no topo. Músicos destes já não existem.
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