quarta-feira, 28 de fevereiro de 2018

Interlúdio musical


Son nata a lagrimar, son nata a sospirar, e il dolce mio conforto, ah, sempre piangerò.

As vozes de Nathalie Stutzmann e Philippe Jaroussky, em  "Son nata a lagrimar", no belo dueto de  Handel. 
"A magia de uma obra que nos toca no fundo da alma. O dorido  canto de uma mãe (Cornelia) e seu filho  (Sesto) que  está preso por  causa de uma vingança. Son nata a lagrimar”  é uma  parte da ópera “Giulio Cesare in Egitto,HWV 17 ” ,  apresentada  em Londres em 1724, pelo seu  autor Georg Friderich Handel . É uma aria da capo  na sua  estrutura , composta por  três partes bem diferenciadas  A-B A´."

terça-feira, 27 de fevereiro de 2018

Sobre "Le Sympathisant "


La poussière de la vie

La poussière de la vie
République des Livres, 24.02.2018 
"Pas de précipitation, gardons-nous de crier au chef d’œuvre après tant d’autres. N’empêche que Le Sympathisant (The Sympathizer, traduit de l’anglais-Etats-Unis par Clément Baude, 487 pages, 23,50 euros, Belfond) de Viet Thanh Nguyen est un grand livre, une première œuvre de tout premier ordre, maitrisée et accomplie, surtout lorsqu’on la lit dissociée du bruit qu’elle a fait puisqu’elle nous est arrivée en septembre déjà précédée par sa légende. Des livres sur la guerre du Vietnam, les librairies en américaines en regorgent, plutôt des mémoires ou des témoignages d’Américains. Ceux des Vietnamiens sont peu traduits. L’entreprise de ce jeune romancier, qui consiste à écrire en anglais d’un point de vue vietnamien quand on est soi-même travaillé « génétiquement » par la double appartenance, a quelque chose d’original, sinon d’inédit.
Le narrateur n’a pas de nom. Il est simplement « le Capitaine » ; les auteurs s’appellent le Général ou l’Auteur, quelques uns de simples prénoms, procédé destiné à éviter les patronymes vietnamiens qui déroutent le lecteur non asiatique. Plus taupe infiltrée que pur espion, même si les techniques du roman d’espionnage sont ici convoquées, c’est un homme à l’esprit double, en équilibre permanent sur le fil entre le licite et l’illicite, qui a la particularité de toujours tout envisager de deux points de vue antagonistes. Parti de Saigon, il accompagne l’exil sud-vietnamien aux Etats-Unis (il y a eu effectivement des espions parmi eux). Il est vrai qu’il travaille pour les deux côtés : d’une part pour un général de l’armée sud-vietnamienne dont il a pour mission d’évacuer la famille dans la débandade générale, quand les GI’s censés protéger Saigon de l’assaut communiste la fuient ; de l’autre, un agent communiste. Son territoire, c’est Los Angeles. Il expédie des lettres codées pleines d’informations essentielles aux camarades restés au pays. Pas un militant mais un sympathisant. Autrement dit quelqu’un qui approuve sans adhérer. pas facile pour un binational toujours soupçonné de trahir l’une de ses deux loyautés.
A l’origine, père français, mère vietnamienne. Il ne veut tuer personne à l’exception de tout individu, Marine, civil ou autre, qui le traite de « bâtard ». Le problème, c’est qu’il y en a toujours un. « Bâtard » car dans leur bouche, « eurasien » ferait trop intellectuel, empire britannique plus encore qu’Indochine française, avec ses fonctionnaires coloniaux sirotant leur Pernod à la terrasse d’un café de la rue Catinat ou de l’hôtel Métropole. Alors à tout prendre, il préfère « enfant naturel », « enfant de l’amour » ou mieux encore « la poussière de la vie ». Un bon garçon, à jamais reconnaissant de l’éducation sous tous les formes, qu’il a reçue de ses parents, des catholiques anticommunistes de la région des Hauts plateaux. Il a été marqué pour toujours par la réaction de sa mère lorsqu’il lui révélé qu’un garçon l’avait traité de bâtard : « Si je pouvais, je l’étranglerais de mes propres mains ! »Aucune autre phrase n’aura autant compté pour lui. Il ne voit pas d’échappatoire à cette division de son moi. Le conflit est en lui en permanence, ce qui donne sa complexité naturelle au roman, nul besoin de la solliciter artificiellement.
Quant à la manière, un humour corrosif, une ironie cinglante, jamais en reste dans l’autodérision, gouvernés tout le long par une réflexion tirée de la Généalogie de la morale placée en épigraphe :
« Gardons-nous, au mot « torturer », de prendre aussitôt un air lugubre ; précisément dans ce cas il y a beaucoup à y opposer, beaucoup à en rabattre- il reste même de quoi en rire »
Le fait est que cette pensée de Nietzsche éclaire en permanence la confession du narrateur à un autre Vietnamien ; elle empêche le lecteur de verser dans un manichéisme redouté entre les bons Vietnamiens et les méchants Américains. Tout le déroulé narratif, parfaitement construit sur le plan technique, est traversé par une méditation morale articulée autour d’une vraie réflexion sur l’engagement, où l’amitié est encore plus épaisse que le désespoir.
Avec Le Sympathisant, Viet Thanh Nguyen pose sur la société américaine le regard que Kazuo Ishiguro a posé sur la société anglaise dans Les Vestiges du jour : admiratif, reconnaissant, caustique mais sans complaisance. Un regard qui peut aller jusqu’à l’empathie mais certainement pas prêt d’abdiquer son sens critique, assorti d’un un sens inouï du détail qui sonne juste et des métaphores éloquentes. Quand tant de romanciers paressent en nous infligeant des portraits frontaux ôtant tout mystère à leurs personnages, lui préfère évoquer quelqu’un « capable de ne pas mettre de glaçons dans son vin », ou des call-girls « emballées sous vide dans des micro-jupes et des bas résille ». Ou les protagonistes écoutant le chant des katioucha sifflant au loin avec le recueillement de « bibliothécaires exigeant le silence absolu ». Ou, pour dire son aversion pour le président Thieu, faire observer que « son nom ne demandait qu’à être recraché de la bouche ». Brillant mais parfois légèrement énigmatique :
« Si le regard avait le pouvoir d’émasculer, cette femme serait repartie avec scrotum dans son sac à main »

Viet Thanh Nguyen (1971) né « là-bas » a échoué en Amérique à 4 ans avec ses parents et d’autres boat people quand il était petit. Après une escale dans un camp en Pennsylvanie, ils s’établirent en Californie. Etudes à Berkeley, professorat à l’USC, enseignement de la mémoire de la guerre du Vietnam, écriture de ce premier roman acclamé, distingué, consacré et finalement couronné du prix Pultizer en 2016, suivi d’un essai sur les mémoires américaine et asiatique du Vietnam et d’un recueil de nouvelles sur les réfugiés. Un auteur à suivre ne fût-ce que pour voir comment il en sort, à supposer qu’il en sorte jamais. Surtout qu’il a une forte conscience politique, qu’il se dit marxiste et catholique. Mais renoncez à trouver des clés autobiographiques dans son roman : Je est vraiment un autre.
En regardant tout jeune Apocalypse now, son premier « traumatisme artistique », il éprouve pour le première fois sa double qualité et ne sait plus s’il est Américain ou Vietnamien étant entendu que le spectateur en lui est les deux à le fois. Les scènes aux Phillipines, relatives au tournage d’un film sur la guerre du Vietnam dont le narrateur est conseiller technique (pas d’autre vietnamien à Hollywood, indispensable pourtant, question d’authenticité : pour accéder à l’universel, il est préférable d’être irréprochable dans les détails) lui sont l’occasion de rappeler cruellement que la perspective vietnamienne a été éclipsée. Trois millions de morts pourtant. Ces scènes lui permettent de régler des comptes sans les nommer tant avec Coppola qu’avec Cimino et Stone, réinventeurs d’un conflit où les Vietnamiens sont cantonnés à l’arrière-plan comme des figurants bons à tuer ou à violer. Les Américains ont parfois du mal avec leurs Vietnamiens, entendez : ceux qui sont devenus Américains, car ils sont le rappel cuisant de leur défaite.
« Nous menacions la sacro-sainte symétrie d’une Amérique noir et blanc, dont la politique raciale du yin et du yang ne laissait place à aucune autre couleur, notamment ces petits Jaunes pathétiques qui venaient piquer dans la caisse »
L’auteur a pensé son livre comme la version européenne d’un roman américain. Bien sûr, on sent a qu’il épluché ses classiques sur la chute de Saïgon (James Fenton, David Butler, Tiziano Terziani et surtout l’inoubliable Sauve qui peut de Franck Snepp) ; il paie d’ailleurs sa dette à la fin. Influencé par un classique de la littérature afroaméricaine Homme invisible, pour qui chantes-tu ? de Ralph Ellison, le déclic lui est pourtant venu de la lecture du Cul de Judas de Lobo Antunes, un choc par sa densité même, qu’il reçut comme une invitation à écrire pour s’affronter à lui. Mais les scènes de torture du Sympathisant ont été inspirées par le passage sur l’Inquisition dans les Frères Karamazov (mais l’incipit rappelle plutôt celui des Carnets du sous-sol) et le déplacement de l’intrigue doit au Voyage au bout de la nuit. On aura compris que si tout écrivain est un lecteur, certains le sont plus que d’autres sans que jamais la trace des ainés, leur puissante imprégnation, ne bride l’imaginaire.
A peine quelques libertés avec la chronologie, quelques licences poétiques ici ou là. Si tout n’est pas exact, tout est vrai. On attend avec impatience son prochain livre, ne fût-ce que pour voir s’il a d’autres grands romans de cet encre dans le ventre – ce dont, personnellement, je ne doute pas.
(« Pendant l’offensive du Tet à Saigon,le général sud-vietnamien Nguyen Ngoc Loin exécute en pleine rue un officier vietcong Nguyen Van Lem, 1 février 1968, photo Eddie Adams ; « Quelque part au Vietnam » photo D.R. ; « Viet Thanh Nguyen » photo Bebe Jacobs)"
Cette entrée a été publiée dans Littérature étrangères

segunda-feira, 26 de fevereiro de 2018

Um caso de vida ou de morte

Um Prémio Salvífico
Por Eugénio Lisboa
“Os prémios literários são, com uma frequência assustadora, controversos. Mesmo os prémios mais prestigiosos – Nobel, Goncourt, Pulitzer – não fogem, muitas vezes, a mostrar preferências, no mínimo, discutíveis. De aí, o cepticismo de tantos escritores em relação a prémios literários. As razões por que eles são atribuídos mas, também, as razões por que não são atribuídos raiam, com frequência, o bizarro, para não dizer: o cómico. Bastaria, para se chegar a esta conclusão, vasculhar os arquivos, por exemplo, do Prémio Nobel e verificar as razões de atribuição  ou de não atribuição do galardão, ou, nalguns casos, a demora de anos, o arrastar de pés, até que, finalmente, embora com alguma relutância, o júri se digne conceder a renitente honraria. Os casos de André Gide e de Anatole France, entre outros, permitiriam, a este respeito, reflexões interessantes.
Talvez, por isto mesmo, os prémios, apesar do tumulto que ainda se levanta à volta deles, se tenham, ao longo do tempo, desacreditado. Ao ponto de um escritor como Jean Cocteau ter afirmado que um verdadeiro escritor tem a obrigação não só de não aceitar qualquer prémio, mas, até, de não o merecer.
Mas hoje venho aqui falar de um prémio atribuído não só com corajosa justiça, mas até, segundo a percepção do galardoado, com efeito salvífico: refiro-me ao Prémio Goncourt atribuído, em 1919, ao romance de Marcel Proust – À l’ombre des jeunes filles en fleur – publicado nesse mesmo ano.
É de todos mais ou menos conhecida a dificuldade que Marcel Proust sentiu em afirmar, aos olhos de editores e leitores, a sua obra-prima – À la recherche du temps perdu – que começou a publicar em 1913. Gide torcera o nariz ao primeiro volume do livro – Du côté de chez Swan – desencorajando Gallimard de o publicar: em grande parte, por preconceito em relação ao personagem mundano e superficial que via em Proust e talvez também por uma alegada falta de coragem deste relativamente a um homossexualismo não abertamente assumido (coragem que o próprio Gide tivera, ao publicar, contra a expressa opinião dos amigos mais chegados, o seu controverso Corydon).
O manuscrito deste primeiro volume do que viria a ser um longuíssimo “folhetim psicológico” – como Régio gostava de lhe chamar – teve má recepção de editores. O livro não era, à primeira vista, atraente: a estrutura do romance desviava-se completamente do romance bem construído do século XIX, com uma história contada com princípio, meio e fim. Era um manuscrito compacto, estranho, com períodos intermináveis, sem intervalos para respirar, quase sem diálogos ou com diálogos raros e não separadamente visíveis, antes “afundados” na massa espessa e densa do texto. O editor Fasquelle, contactado, achou por bem rejeitar liminarmente o manuscrito. Ferido e humilhado, Proust estava disposto a uma rendição completa: pagar do seu bolso as despesas da edição e fazer o editor, dono da chancela, partilhar os lucros, se os houvesse. Tinha de publicar aquilo em que apostava a sua vida e a sua imortalidade. Proust sabia que era esta, finalmente, a grande obra que trazia dentro de si, na qual estava a pôr tudo quanto  de melhor tinha para dar.Tudo o que publicara antes era, por assim dizer, irrelevante e secundário. Esta era o grande investimento da sua vida: que lhe traria a glória, se conseguisse fazer  que reparassem no livro. Mas tinha, em primeiro lugar, de o fazer publicar. Depois, tudo teria de congeminar para o impor.
O seu amigo fiel e dedicado, Louis de Robert, opôs-se firmemente à ideia de Proust pagar os custos e partilhar, mesmo assim, os lucros com o editor. Fez-lhe ver que isso traria um indesejado descrédito para si e para a obra. Mas lembrou-se de que tinha boas relações com um personagem – Humblot – que dirigia a livraria e editora Ollendorff. Contactado, Humblot prometeu ler o livro rapidamente e pronunciar-se sobre a viabilidade da sua edição. E assim o fez. A sua carta de rejeição pertence hoje à história da literatura, pelas más razões: “Caro amigo, sou talvez um burro chapado, mas não consigo compreender que um narrador possa empregar trinta páginas a descrever como se vira e revira na cama  antes de conseguir adormecer.” Mais do que uma nota de rejeição, era uma ofensa. Robert pediu-lhe que redigisse, caridosamente, uma segunda carta mais convencional e suave, que pudesse mostrar ao autor e amigo. E assim se fez, embora Proust, astuto e desconfiado não mordesse a isca.
Depois destes dois fracassos, o autor de Swan resolveu não perder mais tempo (tempo era o que menos tinha, com a asma a matá-lo lentamente) e propôs ao editor Bernard Grasset fazer publicar o livro com a chancela da casa, mas com as despesas por sua conta. Foi assim que o livro se viu finalmente publicado.
A recepção não foi brilhante, embora a obra não tenha passado completamente despercebida. Gide leria o livro já com outros olhos e faria “amende honorable”, E Gallimard passaria, a partir do segundo volume, a ser o editor de À la recherche du temps perdu.
Entretanto, meteu-se de permeio a guerra e, durante os quatro anos que ela durou, não foi possível pensar em editar a sequela de Swan. Mas, em 1918, terminada o conflito, fez-se a composição e impressão de À l’ombre des jeunes filles en fleur, que seria posto à venda em 1919.
O livro começava a impor-se, um pouco mais rapidamente que Swan, mas Proust não estava satisfeito. Tinha perfeita consciência da estranheza do seu escrito, da dificuldade de acesso que mesmo o leitor da maior boa vontade deveria sentir, diante de uma obra tão diferente, tão densa, tão interminavelmente longa e de diálogo raro e obscuramente encalhado naquela massa de texto. Tinha de arranjar maneira de fazer consagrar, de modo espectacular o seu livro. Tinha de salvá-lo de um oblívio quase certo. Precisava de angariar uma garantia de qualidade que captasse, para sempre, leitores. Pensou então no Prémio Goncourt e comunicou a Louis de Robert a sua intenção de se candidatar. Era um acto de alguma ousadia, tanto mais que as dificuldades eram enormes. Havia, para esse ano de 1918, pelo menos outro candidato de peso: Roland Dorgelès, que acabara de publicar um excelente romance de guerra, baseado na sua própria experiência de combatente nas trincheiras. Proust, devido à doença que o consumia – a asma – não fora combatente, o que era, para o caso, uma clara desvantagem. Por essa altura os do Prémio Goncourt tendiam a favorecer, desde que tivesse um mínimo de qualidade literária, uma obra sobre a guerra, cujo autor tivesse sido combatente. Obras desta natureza eram vistas como um esforço sério no sentido de se fomentar um desejável horror à guerra e, se possível, evitar que se repetisse a carnificina. Ora a obra de Dorgelès – Les Croix de Bois – satisfazia plenamente este não explícito mas existente caderno de encargos. Além do mais, Proust era tido como rico, isto é, não necessitado. Ser rico e não ter sido combatente, além de o seu livro nada ter que ver com a guerra – parece que tudo estava contra ele. Mas tratava-se, para o escritor, de um caso de vida ou de morte e por isso não hesitou, pedindo aos amigos chegados  que fizessem “lobby” cerrado junto de alguns membros do júri, sobretudo de Léon Daudet, que admirava Marcel. O “trabalho” foi tão bem feito, que Proust viria a vencer, angariando 6 dos dez votos . Houve, é claro, forte reacção da parte dos adeptos de Dorgelès. Inclusivamente, o romance deste foi posto à venda, com uma cinta de papel, dizendo em letras de grande formato: Prémio Goncourt. E, só depois, em letras minúsculas: 4 votos em 10. Quem olhasse de longe ficava a supor que Les Croix de Bois ganhara o Goncourt. O efeito do Prémio foi sensacional. Proust recebeu perto de 900 cartas e as reimpressões do livro sucederam-se. Os artigos de peso começaram a surgir. A sua glória consolidava-se e, quando morreu, três anos mais tarde, não lhe restavam dúvidas de que conseguira salvar a sua obra, captando, para sempre, a atenção dos leitores. O Goncourt não foi o único instrumento dessa consagração definitiva. Mas ajudou, de uma maneira decisiva, a que um grande livro se instalasse, mais rapidamente, no imaginário das pessoas. Sem ele, talvez Proust tivesse morrido, em 1922, sem ter a certeza de ter salvo do esquecimento a sua Recherche."
Eugénio Lisboa, em Crónica publicada no JL nº 1236, de 14 a 27 de Fevereiro de 2018

domingo, 25 de fevereiro de 2018

Ao Domingo Há Música

O que trago dentro de mim preciso revelar
Eu solto um mundo de tristeza que a vida me dá
Me exponho a tanta emoção
Nasci pra sonhar e cantar
Na busca incessante do amor
Que desejo encontrar

Quanta gente por aí que não terá
A metade do prazer que sei gastar
No amor sou madrugada
Que padece e não esquece
E há sempre um amanhã
Para o seu pranto secar

A universalidade da linguagem musical permite a conjugação de   vozes talentosas que criam momentos de especial fulgor.
Os registos que se seguem atestam essa capacidade
Carminho e Chico Buarque, em  Falando de Amor (Clip Oficial) de Tom Jobim.
 Carminho e Chico Buarque, em Carolina. 

Carminho e  Hamilton de Holanda, em  Nasci Para Sonhar E Cantar.

sábado, 24 de fevereiro de 2018

Os tons da Fotografia

"A Fotografia traz sempre consigo o seu referente , ambos atingidos pela mesma imobilidade amorosa ou fúnebre, no próprio seio do mundo em movimento(...)."
Roland Barthes, in " A Câmara Clara", Edições 70, p.13
 





 




"Inicialmente, a Fotografia, para surpreender, fotografa o notável; mas , em breve, por meio de uma reviravolta conhecida, ela decreta que é notável aquilo que fotografa. O "não importa o quê" torna-se então o cúmulo sofisticado do valor." 
Roland Barthes, in " A Câmara Clara", Edições 70, p. 43

sexta-feira, 23 de fevereiro de 2018

Carta de Hannah Arendt sobre Walter Benjamin


Monumento a Walter Benjamin en Portbou (Girona).
Monumento a Walter Benjamin en Portbou (Girona). 

Hannah Arendt: “En la noche que se les había concedido, se suicidó”
Carta en la que la pensadora relata las circunstancias de la muerte de su amigo Walter Benjamin
Lectura, Babelia, El País, 21.02.2018
"En septiembre de 1940 el filósofo Walter Benjamin se quitó la vida en Portbou (Girona) por miedo a ser entregado a los nazis. En esta carta, que forma parte de la correspondencia entre Hannah Arendt y Gershom Scholem que publica Trotta esta semana, la pensadora relata las circunstancias de la muerte de su amigo.

Hannah Arendt-Bluecher / 317 West 95th Street / Nueva York, N. Y.
17 de octubre de 1941
Querido Scholem:
Miriam Lichtheim me dio su dirección y me transmitió sus saludos. Aunque creo que sin este empujón también me hubiera animado a escribirle, debo reconocer que ha sido un empujón muy efectivo.

Foto del pasaporte de Walter Benjamin.
Foto del pasaporte de Walter Benjamin.

Wiesengrund me dijo que le hizo llegar un informe detallado sobre la muerte de Benjamin1. Yo misma me he enterado al llegar aquí de algunos detalles nada irrelevantes. Quizá tampoco esté demasiado cualificada para exponer los hechos, pues apenas había contado nunca con un desenlace como este, de manera que durante varias semanas después de su muerte creí todavía que era todo un chismorreo de emigrantes. Y esto a pesar de que precisamente en los últimos años y meses éramos muy amigos y nos veíamos con regularidad.

Fachada de la casa en la que murió el filósofo aleman Walter Benjamin en Portbou (Girona).
Fachada de la casa en la que murió el filósofo aleman 
Walter Benjamin en Portbou (Girona).

Al comienzo de la guerra estuvimos todos juntos de veraneo en un pequeño nido francés cerca de París. Benji estaba en excelente forma, había acabado partes de su Baudelaire2 y pensaba —con razón, según mi opinión— que estaba a punto de hacer cosas óptimas. El estallido de la guerra le asustó en seguida sobremanera. El primer día de la movilización huyó de París a Meaux por miedo a los ataques aéreos. Meaux era un famoso centro de la movilización, con un aeropuerto de gran importancia militar y una estación de tren que constituía un punto estratégico para toda la concentración de tropas. La consecuencia fue por supuesto que desde el primer día las alarmas aéreas no cesaron, y Benji volvió rápidamente bastante espantado. Llegó justo a tiempo para que lo encerraran en un campo de internamiento. En el campo provisional de Colombes, donde mi marido [Heinrich Blücher] mantuvo largas conversaciones con él, se encontraba muy desesperado. Y ello naturalmente por buenos motivos. En seguida puso en práctica una forma peculiar de ascetismo, dejó de fumar, regaló todo su chocolate, se negó a lavarse, a afeitarse o incluso a moverse. Tras su llegada al campo definitivo no se sintió tan mal en realidad: tenía a su alrededor un grupo de chavales jóvenes que le tenían aprecio, que querían aprender de él y que le libraron de todo tipo de cargas3. Cuando volvió a mediados o finales de noviembre estaba más bien contento de haber hecho esa experiencia. También había desaparecido por completo su pánico inicial. En los meses siguientes escribió las Tesis filosófico-históricas, de las que también le envió a usted, como me dijo, una copia4, y de las que podrá deducir usted que andaba sobre la pista de cosas nuevas. No obstante, en seguida se sintió bastante temeroso de la opinión del Instituto. Usted sabrá seguramente que el Instituto le había comunicado antes del comienzo de la guerra que su honorario mensual ya no estaba asegurado y que debería intentar buscar otra cosa. Eso le entristeció mucho, aunque la verdad es que tampoco estaba muy convencido de la seriedad de esta pretensión. Pero en lugar de mejorar su situación, esto la hizo aún más difícil. Este miedo desapareció con el estallido de la guerra, pero siguió temiendo la reacción a sus teorías más recientes y por cierto bastante poco ortodoxas. En enero, uno de sus jóvenes amigos del campo, que casualmente era también un amigo o discípulo de mi marido, se suicidó. Fundamentalmente por razones personales. Esto le afectó de manera extraordinaria, y en todas las conversaciones tomaba partido por este chico y su decisión con una vehemencia realmente apasionada.
El cementerio da a una pequeña bahía, directamente al Mediterráneo. Es con diferencia uno de los lugares más fantásticos y hermosos que he visto en mi vida
En la primavera de 1940 todos emprendimos el camino del consulado americano con el corazón pesaroso, y, a pesar de que ahí se nos explicó de forma unánime que tendríamos que esperar entre dos y diez años hasta que nos llegara el turno en la lista de espera, los tres empezamos a tomar clases particulares de inglés. Ninguno de nosotros se lo tomó muy en serio, pero Benji aspiraba a aprender lo suficiente como para poder decir que no le gustaba en absoluto ese idioma. Y lo logró. Su horror a América era indescriptible, y ya entonces dicen que había comunicado a amigos que preferiría una vida más corta en Francia a una más larga en Estados Unidos.

Hannah Arendt: “En la noche que se les había concedido, se suicidó”

Todo esto acabó rápido cuando, a partir de mediados de abril, a todos los internados liberados hasta la edad de 48 años se les realizó un reconocimiento médico con el fin de determinar si eran aptos para el servicio de trabajo militar. Este servicio de trabajo en realidad solo era otra palabra para el internamiento de trabajos forzados y, en comparación con el primer internamiento, significó en la mayoría de los casos un empeoramiento. Que iban a declarar a Benji no apto estaba claro de antemano para todos, excepto para él. En este tiempo anduvo muy irritado y me explicó repetidas veces que no podía pasar otra vez por el mismo drama. Luego, naturalmente, fue declarado no apto. Independientemente de esta medida, a mediados de mayo vino el segundo y más minucioso internamiento, del cual usted ya habrá tenido noticia. Tres personas se libraron de milagro, entre ellas Benji. No obstante, en medio del caos de la administración nunca pudo saber si y por cuánto tiempo iba la policía a acatar una orden del Ministerio de Exteriores, y si no lo iba a detener sin más. Yo misma ya no lo vi más por entonces, porque también me habían internado5, pero unos amigos me contaron que ya no se atrevía a salir a la calle y que se hallaba en un estado de pánico constante. Logró salir de París con el último tren. Solo llevaba consigo un pequeño maletín con dos camisas y un cepillo de dientes. Se dirigió, como sabe usted, a Lourdes. Cuando yo salí de Gurs a mediados de junio, también fui a Lourdes por casualidad y me quedé ahí varias semanas por iniciativa de él. Era el momento de la derrota; pocos días después ya no circulaban los trenes; nadie sabía dónde habían quedado familias, hombres, niños o amigos. Benji y yo jugábamos al ajedrez de la mañana a la noche y en las pausas leíamos el periódico, si lo había. Todo esto estuvo bastante bien hasta el instante en que se proclamó el armisticio con la famosa cláusula de extradición6. Evidentemente a continuación nos sentimos bastante peor, aunque no puedo decir que Benji realmente entrara en pánico. Al poco tiempo supimos de los primeros suicidios de internados mientras huían de los alemanes, y Benjamin por primera vez empezó a hablar conmigo y de manera repetida del suicidio. De que justamente quedaba esta salida. Ante mi protesta sumamente enérgica de que a uno siempre le quedaba tiempo para eso, repitió de manera muy estereotipada que esto nunca se podía saber y que en ningún caso debería uno retrasarse demasiado. Por otra parte hablábamos de Norteamérica. Parecía haberse reconciliado más con esta idea que antes. Tomó en serio una carta del Instituto en la que se le explicaba que se estaban haciendo todos los esfuerzos para llevarlo allí. Menos en serio se tomó otra declaración que decía que iba a formar parte del consejo editorial de la revista con un salario asegurado7. Lo tomó por un contrato simulado para facilitarle un visado. Tenía mucho miedo, parece que sin razón, de que una vez aquí le pudieran dejar en la estacada. A principios de julio salí de Lourdes para ponerme à la recherche de mon mari perdu [en busca de mi marido perdido]. Benji no estaba muy entusiasmado, y yo dudé durante mucho tiempo si no debería llevarlo conmigo. Pero esto hubiera sido sencillamente irrealizable. Ahí estaba tan a salvo de las autoridades locales (con un escrito de recomendación del Ministerio de Exteriores) como no lo podría haber estado más en ninguna otra parte. Hasta septiembre solamente tuve noticias suyas por carta8. Mientras tanto, la Gestapo había estado en su piso y había confiscado todo. Me escribió muy deprimido. Aunque entretanto se han recuperado sus manuscritos, tenía entonces razones para dar todo por perdido. —
En septiembre fuimos a Marsella, porque nuestros visados ya habían llegado allí. Benji ya estaba allí desde agosto, dado que su visado había llegado a mediados de ese mes. También estaba en su poder el famoso Transit [visado de tránsito] español y, por supuesto, el portugués. Cuando lo vi de nuevo, a su visado español tan solo le quedaban ocho o diez días de validez. No había entonces ninguna esperanza de obtener una visa de sortie [visado de salida]. Me preguntó desesperado qué debía hacer y si no podríamos encontrar rápidamente visados españoles para poder cruzar la frontera todos juntos. Le dije y le mostré que era inútil y que por otro lado él debía salir ya, pues los visados españoles en aquel tiempo ya no se renovaban. Además le dije que me parecía muy incierto cuánto tiempo más iban a existir estos visados en general y que no debería uno arriesgarse a dejarlo caducar. Que evidentemente lo mejor sería que los tres fuéramos juntos, que luego debía venir a Montauban, donde estaríamos nosotros, pero que nadie podía asumir la responsabilidad de todo ello. A lo cual sí que decidió partir precipitadamente. Los dominicos le habían dado una carta de recomendación para algún abad español. Esta nos impresionó mucho entonces, aunque era totalmente absurda. — En aquellos días en Marsella mencionó nuevamente intenciones de suicidio. — Lo demás lo sabrá usted seguramente: que tuvo que partir con personas que le eran  completamente desconocidas; que eligieron el camino más largo, que implicó una caminata a pie por la montaña de aproximadamente siete horas; que por razones inconcebibles destruyeron sus  documentos de residencia franceses y así se impidieron ellos mismos la vuelta a Francia; que luego llegaron a la frontera española justamente veinticuatro horas después de su cierre a personas sin pasaporte nacional —a todos tan solo nos quedaban los papeles del consulado americano—; que Benji se había derrumbado varias veces ya en la ida; que a la mañana siguiente deberían ser entregados en la frontera española, y que él, en la noche que se les había concedido, se suicidó. Cuando meses más tarde llegamos a Portbou, buscamos su tumba en vano: no se podía encontrar, en ninguna parte ponía su nombre. El cementerio da a una pequeña bahía, directamente al Mediterráneo, está esculpido en terrazas de piedra; en aquellos pedrizos también se mete los ataúdes. Es con diferencia uno de los lugares más fantásticos y hermosos que he visto jamás en mi vida.
El Instituto tiene el legado, pero de momento no se atreve a publicar nada en lengua alemana9. Me pregunto si independientemente de esto no se podrían publicar las Tesis filosófico-históricas en Schocken. Me regaló el manuscrito y el Instituto tan solo lo obtuvo gracias a mí. Querido Scholem, esto es todo lo que le puedo decir, y lo he hecho lo más escrupulosamente que he podido y con los menos comentarios posibles.
A usted y a su mujer saludos afectuosos de Monsieur y míos.
Suya,
Hannah Arendt [a mano]

1. Tras una primera carta del 8 de octubre de 1940, que comenzaba con la frase: «Walter Benjamin se ha quitado la vida», el 19 de noviembre Adorno escribía otra carta a Scholem en la cual le daba detallada cuenta de lo que sabía de la muerte de Benjamin.
2. En julio de 1939 Benjamin terminó el ensayo «Sobre algunos motivos de Baudelaire», publicado en enero de 1940 en el último número doble de la Zeitschrift für Sozialforschung (8 [1939, e. d., 1940]/1-2, pp. 50-89) que vio la luz en Europa [Obras, libro I, vol. 2, Abada, Madrid, 2008, pp. 204-260].
3. Benjamin fue internado en «Clos St. Joseph», en Nevers.
4. Por lo que se sabe, la copia manuscrita de las «Tesis sobre la filosofía de la historia» que Benjamin mandó a Scholem se extravió durante el envío. Había otra copia que Arendt entregó a Adorno, en su calidad de albacea del legado literario de Walter Benjamin, tras su llegada a Nueva York.
5. Arendt estuvo internada en un campo de mujeres en Gurs en el sur de Francia durante cinco semanas, entre mayo y junio de 1940. Pudo escapar aprovechando el vacío de poder durante el armisticio.
6. El tratado de armisticio de Compiègne, del 22 de junio de 1940, obligaba al gobierno francés a la derogación del derecho de asilo y a la puesta en libertad de todos los prisioneros de guerra y civiles alemanes. Además, el gobierno se comprometía a extraditar, «a requerimiento», a todos los antiguos ciudadanos alemanes, presentes en Francia o en los territorios franceses.
7. Adorno envió una carta de apoyo a Benjamin el 15 de julio de 1940, igual que una declaración formal del Instituto de Investigación Social el 17 de julio de 1940, en la que este se manifestaba dispuesto a mantener a Benjamin en Estados Unidos como editor de la revista.
8. Estas cartas se publicaron en D. Schöttker y E. Wizisla (eds.), Arendt und Benjamin, Fráncfort M., 2006.
9. La revista del Instituto apareció a partir de 1940 con el título inglés Studies in Philosophy and Social Science (SPSS).
10. Jenny Blumenfeld, la esposa de Kurt Blumenfeld, se quedó en Palestina durante el viaje a Estados Unidos de su marido.

quinta-feira, 22 de fevereiro de 2018

Tributo a Leonard Cohen

As homenagens ou tributos que se prestam a um cantor, que desapareceu, envolvem sempre uma série de artistas que  foram tocados por ele, de algum modo. Fazem interpretações magníficas de canções que nos encantam pelo talento e emoção que nelas colocam.
Leonard Cohen, além de poeta e escritor, foi um grande compositor e cantor. Foi-lhe prestado um esplêndido Tributo, em 2017.
Eis duas belas interpretações, seguidas de duas excelentes canções na inconfundível voz do seu autor: Leonard Cohen.

Damien Rice, em  “Famous Blue Raincoat” , Tower Of Song Tribute Leonard Cohen 2017, Full HD

Adam Cohen & Damian Rice, em “The Partisan”, Tower Of Song Tribute Leonard Cohen 2017, Full HD

Leonard Cohen, em  Hallelujah.

Leonard Cohen, em Dance me to the end of love.

quarta-feira, 21 de fevereiro de 2018

Um livro com dedicatória

 A você, hipócrita leitor, meu igual, meu irmão (por supuesto!)
A você, hipócrita leitor, meu igual, meu irmão (por supuesto!)
Por Marcelo Franco
Há algo de muito íntimo em receber um livro com dedicatória: nestes tempos dominados pelo computador e pela pressa, ler algo escrito pelo próprio punho da pessoa que se estima pode ser uma experiência rara e emocionante

“Para Mercedes, por supuesto”: assim Gabriel García Márquez dedicou, para minha inveja, “O Amor nos Tempos de Cólera” a sua mulher, escancarando todo o seu amor com apenas duas palavrinhas — “por supuesto”. Na edição brasileira que tenho deste livro que há muito tempo acompanha os meus devaneios literários, meu pai escreveu a minha mãe: “Para você, o amor nos tempos do… amor” (romantismo que compensou dedicando “A Terrorista”, de Doris Lessing, com ironia — “Leia, mas não seja”. O conselho deve ter sido seguido, pois o casamento permaneceu firme). Já noutro exemplar, espanhol, um grande amigo me homenageou: “A mi hermano Marcelo Franco, ésta que es la más bonita novela escrita en Latinoamérica en la lengua de Cervantes”. Portanto, mantenho três edições do livro de García Márquez nas minhas estantes sempre atulhadas: uma toda anotada por mim e as duas com dedicatórias — vício de bibliómano.

Mercedes: por supuesto
Gabriel García Márquez e sua mulher Mercedes: por supuesto!
Ler com atenção e coleccionar dedicatórias é com certeza um dos sinais distintivos da bibliomania. Na verdade, uma das formas de reconhecer um bibliomaníaco é o facto de que lemos de fio a pavio qualquer livro: as orelhas, a dedicatória, as notas de rodapé, as referências bibliográficas e até o cólofon. Holbrook Jackson, autor de uma preciosidade criminosamente ainda não traduzida no Brasil, “The Anatomy of Bibliomania”, reservou um capítulo inteiro de seu livro para discorrer sobre o prazer de coleccionar livros com pedigree, aqueles que têm dedicatórias ou anotações de quem os possuiu. No meu caso, não sou excepção à regra: venho há anos comprando livros dedicados pelos próprios autores e consegui alguns itens dos quais me orgulho com exagero talvez doentio: Pedro Nava, Afonso Arinos, Erico Verissimo, Rubem Braga… Mas se esta faina de acumulação é estranha, Holbrook também nos lembra que a bibliomania causa menos males do que, diz ele, a “sanidade dos sãos”. Acho que procede (aliás, é curioso que a bibliomania seja vista com estranheza enquanto a cinefilia desfruta de status de actividade essencialmente intelectual. Mas não se animem os cinéfilos: a julgar pelos cadernos de cultura dos jornais, a leitura de quadrinhos já está quase ocupando o seu lugar).

Tenho fama de ser bom “dedicador” de livros. Amigos pedem-me conselhos quando se sentem embaraçados com a folha em branco e a necessidade de escrever nela algumas linhas para que o presente fique, por assim dizer, mais personalizado. Creio mesmo que esta minha pequena glória não seja imerecida e, para mantê-la, tenho minhas regras e truques. Revelo aqui apenas um: em desespero, grito por socorro — por exemplo, adaptei para uso próprio, muitas vezes, aquela dedicatória feita por meu pai, “Para você, o amor nos tempos do… amor”. Mas, para minha danação eterna, tendo à verborragia quando Cupido entra em cena. Há alguns anos, quando aquela que desorganizou o que estava organizado entrou em minha vida, passei a dar-lhe dezenas de livros, todos com longas e digressivas dedicatórias. Em troca, ganhava dela livros e presentes com cartões — quando havia algum cartão — com poucas linhas, geralmente algo directo do tipo “Para Marcelo” ou “Feliz aniversário”, e essa concisão, comparada com os meus cartapácios, me roubava noites de sono. Não gosto de pensar que meu caos interno tenha ficado preservado em dezenas de dedicatórias amontoadas em estantes alheias (há aí, percebo agora, uma subtil e freudiana forma de poder na relação entre um verborrágico e uma comedida). Contudo, noutras vezes acertei, ainda que também estivesse confuso: a uma mulher especial que meus transtornos não permitiram que fôssemos além, digamos, de uma espécie de modus vivendi sentimental, dei “Amor em Veneza”, de Andrea di Robilant, e, aproveitando o próprio título impresso na folha de rosto, escrevi: “Para B., AMOR EM VENEZA — e também em Goiânia”.
Em “O Complexo de Portnoy”, de Philip Roth, estruturado como se fosse uma longa sessão de análise, apenas repeti a única frase que o psicanalista diz a Portnoy depois de mais de duzentos e cinquenta páginas de reclamações do seu paciente (talvez, imagino, como reconhecimento da minha própria tagarelice): “Para B.: agora a gente pode começar?”. Tenho o consolo de pensar que ela, daqui a muitos anos, possa dar de cara por acaso, numa tarde preguiçosa ou numa noite insone, com esses livros perdidos nas estantes e, lendo o que escrevi, sinta condescendência pela minha desorganização sentimental, ternura pelo pouco que tivemos e uma vaga decepção pelas promessas não cumpridas dessas dedicatórias.
(Sigo pela senda romântica e me traio revelando outro truque: para os namorados, os sonetos de amor de Camões nunca falham. Ninguém resistiria a estes versos, ainda que eventualmente transcritos sem menção ao autor: “Mas, conquanto não pode haver desgosto/Onde esperança falta, lá me esconde/Amor um mal, que mata e não se vê:/Que dias há que na alma me tem posto/Um não sei quê, que nasce não sei onde,/Vem não sei como, e dói não sei por quê”. Ou estes: “Porque é tamanha a bem-aventurança/O dar-vos quanto tenho e quanto posso/Que, quanto mais vos pago, mais vos devo”. Usem, mas não espalhem a ideia. Ou usem e digam que os versos são do Renato Russo.)
Francine Van Hove
Há um clássico problema decorrente de dedicar livros: pode-se encontrá-los num alfarrabista. Como agir? Bem, há o método “Naipaul” e o método “Shaw”. Parece que V.S. Naipaul teria encontrado um livro por ele dedicado a Paul Theroux, seu amigo fraterno transformado desde então em inimigo íntimo. Já George Bernard Shaw viu num alfarrabista um livro que dedicara certa vez a alguém.  Comprou-o e dedicou-o novamente — a primeira dedicatória: “Para …, com afecto, G.B.S”; a segunda: “Para …, com renovado afecto, G.B.S.”.
Se essas histórias são realmente verdadeiras, não sei, mas um passeio por alfarrabistas em Goiânia mostra amizades e amores traídos à venda e, o que talvez seja pior, expostos à permanente curiosidade de quem nem mesmo pretende comprar aqueles livros. Recebi de amigos algumas pérolas com dedicatórias, como “Marcelo, se já tiver este livro, devolva-o a mim”, ou outra, feita num exemplar de “Jaime Bunda, o Agente Secreto”, do angolano Pepetela, que o pudor, meu casto leitor, me impede de transcrever aqui. Se fosse eu o autor de tão elegantes linhas, não gostaria de vê-las tornadas públicas. Talvez a solução seja usar o clássico “Com amizade” e assinar apenas o primeiro nome, o que diluiria a possibilidade de reconhecimento.
Percebo que derivei pelo rumo das dedicatórias feitas por quem presenteia o livro, então voltemos à vaca fria das dedicatórias feitas pelos próprios escritores. Tenho as minhas preferidas. De imediato, lembro-me de “O Pequeno Príncipe”. Se o encanto do livro perdeu-se por conta das excessivas referências em concursos de miss, ao menos ainda podemos nos deliciar com a dedicatória de Antoine de Saint-Exupéry a Léon Werth. Primeiro, ele pede perdão às crianças “por dedicar este livro a uma pessoa grande”; depois, explica os seus motivos; por fim, ele se emenda: “Todas as pessoas grandes foram um dia crianças. (Mas poucas se lembram disso.) Corrijo, portanto, a dedicatória: a León Werth quando ele era pequeno”.
Muitas outras são as dedicatórias famosas na literatura mundial, desde a de Cervantes, que suplicou longamente ao Duque de Béjar, Marquês de Gibraleón, Conde de Benalcázar e de Bañares, Visconde de Puebla de Alcocer, Senhor das Vilas de Capilla, Curiel e Burgillo para que recebesse o seu “O Engenhoso Fidalgo D. Quixote de La Mancha” sob sua protecção, até a de Baudelaire, que encerrou o poema-dedicatória de “As Flores do Mal” com esta quadra (na tradução de Ivan Junqueira): “É o Tédio! — O olhar esquivo à mínima emoção,/Com patíbulos sonha, ao cachimbo agarrado./Tu conheces, leitor, o monstro delicado/— Hipócrita leitor, meu igual, meu irmão!”. Da pusilanimidade lamuriante à ofensa descarada, pode-se dizer. No Brasil, fiquemos com Machado, que fez Brás Cubas iniciar as “Memórias Póstumas” com uma mórbida — e hoje famosa — dedicatória: “Ao verme que primeiro roeu as frias carnes do meu cadáver, dedico com saudosa lembrança estas Memórias Póstumas”. O grande Harold Bloom, que considera Machado de Assis uma espécie de milagre, recusa-se a citar essa dedicatória em “Génio” por achá-la “terrível demais”. Não me consta que o verme tenha reclamado.
Mas esses momentos de pura literatura na forma de dedicatória são excepções. Um rápido olhar sobre os livros atulhados na imensa bibliopilha de livros não lidos em que se transformou meu apartamento parece mostrar que mesmo os grandes escritores são adeptos da simplicidade na hora de dedicar os livros que, com certeza, custaram a eles angustiosas horas de ponderações sobre le mot juste — há uma infindável colecção de dedicatórias reduzidas ao mínimo possível: “Para Ida” (Ralph Ellison, “O Homem Invisível”); “Para H.L.” (Philip Roth, “Nêmesis”); “A Phil Stone” (William Faulkner, “O Povoado”); “A Pilar” (José Saramago, “Todos os Nomes”). Às vezes pode ser divertido, mesmo nas mais sucintas dedicatórias, acompanhar as mutações de afecto, como no caso de Hemingway, que começou com “Este livro é para Hadley e para John Hadley Nicanor” (“O Sol Também se Levanta”), homenageando a primeira mulher e o filho, passou por “Este livro é para Martha Gellhorn” (“Por Quem os Sinos Dobram”), sua terceira mulher, e terminou com “A Mary, com amor” (“Do Outro Lado do Rio, Entre as Árvores”), a quarta e última esposa. Não sei se Vinicius de Moraes seguiu o mesmo exemplo, mas, se o fez, talvez não tenha escrito livros suficientes para todas as musas.
Porém, há quem consiga endurecer sem perder a ternura. A crítica literária Cristina Nehring, no curioso “Em Defesa do Amor”, não deixa de ser amorosa ao mesmo tempo que é sucinta: “Transeunte, amante, guerreiro, idealista: este livro é para você”. E há o oposto das homenagens mínimas, os livros que são eles mesmos longas dedicatórias, geralmente escritos para narrar histórias de pessoas queridas que já morreram ou que estão doentes: o jornalista Calvin Trillin, por exemplo, escreveu o belo e surpreendentemente engraçado “Sobre Alice” depois da morte de sua esposa, que foi o que também fez Joan Didion, autora de “O Ano do Pensamento Mágico”, sobre a morte do marido e a doença da filha. Mas o campeão da categoria de dedicatória em forma de livro é, claro, “Carta a D.”, que o filósofo André Gorz escreveu para sua moribunda companheira de toda a vida — o livro começa com estas palavras que nunca deixam de me emocionar: “Você está para fazer oitenta e dois anos. Encolheu seis centímetros, não pesa mais do que quarenta e cinco quilos e continua bela, graciosa e desejável. Já faz cinquenta e oito anos que vivemos juntos, e eu amo você mais do que nunca. De novo, carrego no fundo do meu peito um vazio devorador que somente o calor do seu corpo contra o meu é capaz de preencher”. Uau! (Gorz depois fez outra, digamos, dedicatória à esposa desenganada: matou-se com ela num pacto suicida.)

André Gorz e sua mulher Dorine
André Gorz e sua mulher Dorine: uma das maiores declarações de amor da história da literatura
Há algo de muito íntimo em receber um livro com dedicatória: nestes tempos dominados pelo computador e pela pressa, ler algo escrito de próprio punho por pessoa que se estima pode ser uma experiência rara e emocionante. E há sempre o prazer de tentar descobrir novos significados naquilo que a aparente simplicidade das palavras pode ocultar por tartufice. Anne Fadiman, autora de “Ex-Libris: Confissões de Uma Leitora Comum”, um livrinho que eu lamento não ter escrito, lembra que escrutinar as palavras da dedicatória feita por uma pessoa amada é exercício comum de namorados aflitos — a depender da ênfase dada a cada palavra, declarações de amor eterno podem surgir. Eu mesmo passei noites e noites na companhia de Jacques Derrida para desconstruir uma longa dedicatória que trazia, no segundo parágrafo (havia cinco), estas palavras: “Gostar de beleza é fácil. E, surpreendentemente, quando ela se apresenta de maneiras inesperadas é ainda mais fácil”. Ainda não entendi por que o inesperado seria mais fácil, e deve ser por isso que perdi a moça e mantive o livro (e creio que fui chamado de feio). Também já ganhei uma colectânea das tragédias de Shakespeare na qual uma esperançosa admiradora escreveu: “Para Marcelo, a fim de que um dia entenda”. Passaram-se quase vinte anos, entro a passos largos na meia-idade e ainda não entendi. Aliás, não entendi nem mesmo o que seria aquilo que deveria tentar entender — não entender tem sido o meu fado.

Outra digressão: é também Fadiman, citando o nosso já mencionado Holbrook Jackson, que lembra a proeza de Lorde Byron escrevendo duzentas e vinte seis palavras para a Condessa Teresa Guicciolini num exemplar de “Corinne”, de Madame de Staël. O fogoso poeta terminou sua dedicatória com um apelo de fidelidade: “Eu mais do que a amo, e não consigo parar de amá-la. Pense em mim algumas vezes quando os Alpes e o oceano nos separarem — mas eles jamais o farão, a menos que o desejes”. Falta-me o título de nobreza, mas ao menos empato com Byron em matéria de verborragia e excessos melosos.
Como tudo na vida, há regras a serem obedecidas, pois descubro — ainda no livrinho de Fadiman — que existe uma etiqueta para a dedicatória: devemos escrever no falso-rosto, pois a folha de rosto é reservada para o autor do livro. Ora, ora. Eu, como a própria Fadiman, venho há anos estragando centenas de folhas de rosto — quando estou inspirado, começo no falso-rosto, passo ao seu verso, continuo na folha de rosto e de novo no verso. Volto às minhas estantes e vejo, surpreso, que muitos dos livros a mim dedicados o foram correctamente. Por que ninguém me disse isso antes? (A propósito: a suprema falta de elegância seria dedicar um livro de etiqueta na folha de rosto?)
Sim, tudo isso é de pouca importância e pequeno e talvez seja somente o exercício de minúsculas vaidades  em agitações desnecessárias, mas nossas glórias e tragédias quotidianas são também pequenas e pouco importantes (foi Shakespeare quem escreveu que as maneiras como falhamos a vida são a própria vida?). Por isso, sei que tenho em mim uma dedicatória ainda não escrita e que porei num livro que ainda não comprei e com o qual presentearei uma pessoa que ainda não conheci — e meu pequeno momento de sinceridade e desnudamento poderá ser uma aragem numa calmaria entediante ou uma bonança depois de um cataclismo. Ou, caso eu consiga transmitir pelas palavras meus sentimentos mais profundos, talvez fique, tal qual marca feita com ferro em brasa, como memento do encontro da minha vida imprecisa e vã com essa outra vida que terá me levado a escolher um livro e nele depositar as minhas próprias palavras, algo sagrado para mim, que sempre tento, e não consigo, entender os mecanismos de funcionamento do mundo nos livros. E, não fôssemos nós humanos tão pouco atentos ao próximo, tudo isso poderia ser também — ah, suprema glória! — sagrado para quem receber na forma de dedicatória meus pequenos e sobretudo tristes instantes de fraqueza e, compreendido o carácter ritualístico de um gesto só na aparência menor, porventura minhas palavras possam abrir uma brecha no entendimento de tal pessoa por ora apenas imaginada e iluminá-la para que perceba que se render ao amor ainda pode ser uma das riquezas de nossas vidas. Sim, há esse livro no qual escreverei palavras talvez aflitas ou talvez resignadas, e haverá uma pessoa que as receberá — por supuesto." Crónica de Marcelo Franco e  Pinturas de  Francine Van Hove, Revista Bula, Brasil.

terça-feira, 20 de fevereiro de 2018

Curiosidades excêntricas da Europa

Portugal tem uma das dez atracções mais excêntricas da Europa.
Descubra qual é.
O jornal britânico elaborou uma lista com as dez atracções mais excêntricas da Europa. Uma delas são os jardins do Palácio de Monserrate, em Sintra. Conheça as restantes.
Mais uma vez, Portugal continua a estar nas bocas do mundo. Desta vez, pelas suas atracções turísticas de Natureza. Numa lista publicada pelo The Guardian (conteúdo em inglês), é em Sintra que está uma das dez atrações mais excêntricas da Europa. Os jardins de William Beckford, no Palácio de Monserrate, estão entre as atracções aconselhadas aos viajantes que queiram visitar locais mais peculiares.

Palácio de Monserrate, Sintra

Na pitoresca vila de Sintra, encontramos o Palácio de Monserrate com jardins que merecem destaque a nível internacional. “Como se Sintra já não fosse suficientemente excêntrica”, começa por ler-se no artigo. “Cascatas, cursos de água acompanhados por arcos de fachada gótica, uma capela e uma enorme colecção de plantas” são alguns dos pontos de maior relevo, somado a “tudo o que se come ou se bebe é esplêndido“. Com uma chamada de atenção para o estado actual do palácio, que “já viu dias melhores”, não deixa passar em branco “os concertos na sala de música bastante original”.

Mina de sal, Roménia

Descrita pelo The Guardian como “uma experiência surreal“, a Salina Turda é uma mina de sal, na Transilvânia, localizada a 120 metros de profundidade. Foi construída no século XVII e usada, ainda que por pouco tempo, durante a Segunda Guerra Mundial como abrigo das bombas. Mais tarde, tornou-se numa espécie de armazém para queijo, tendo sido convertida recentemente num parque temático subterrâneo, com uma roda gigante, campo de mini-golfe, pista de bowlling e ping-pong. Para além disso, os utilizadores podem ainda explorar a mina através de barcos a remo no lago subterrâneo.

Museu do Porco, Alemanha

Bastante peculiar é, também, este museu alemão. Localizado em Stuttgart, o Schweine Museum é um museu localizado num antigo matadouro e que tem expostos cerca de 50 mil produtos relacionados com o mundo suíno, espalhados por três andares e 25 salas. O museu é destinado especialmente ao público infantil, com objectos escondidos ou visíveis apenas através de pequenas janelas que devem ser abertas. O britânico destaca ainda o restaurante do museu, “onde a carne de porco e o presunto dominam o menu, obviamente”.

Fontes do Truque do Palácio de Hellbrunn, Áustria

Criadas pelo príncipe arcebispo de Salzburgo, as Trick Fountains no Palácio de Schloss Hellbrunn, também conhecidas como “fontes-truque”, tinham como objectivo enganar os convidados da realeza. À volta de uma enorme mesa de banquete, existiam jactos de água colocados propositadamente para os visitantes mais desprevenidos. Hoje, a tradição mantém-se e, sem estarem à espera, as pessoas que se sentam na mesa são apanhadas de surpresa com jactos de água que saem do subsolo. O jornal destaca ainda “os passeios pelos belos jardins”, óptimos para um “dia caloroso de verão”.

Casas de banho com vista para a montanha, Andorra

Este é, talvez, o local mais estranho de todos. Se passar em Andorra, a vista estará lá à sua espera. Na estância de ski de Grandvalira, há uma casa de banho totalmente fora do comum. Quando usada oferece uma vista única para a montanha. “Do lado de fora tem vidros reflexos mas, no interior, os vidros são transparentes“, escreve o The Guardian. Apesar de ser “um pouco desconfortável no início”, o jornal garante que facilmente o viajante se habitua.

Museu da Aviação, França

Espalhados pelos jardins do Castelo de Savigny-lès-Beaune, na região francesa de Borgonha, há cerca de inúmeras aeronaves disponíveis para serem apreciadas pelos mais curiosos. Desde helicópteros, um hovercraft, e vários motores com centenas de anos, há “milhares de modelos de veículos” expostos, culminando numa experiência “estranha, mas fascinante”, lê-se no artigo.

Torre de televisão Žižkov, República Checa

“Votado como o segundo edifício mais feio do mundo”, a torre Žižkov não deixa de ser excêntrica para o jornal britânico, pelo “interessante desvio da arquitectura histórica do centro da cidade” de Praga. No seu interior há um miradouro e um restaurante, acompanhado de um bar de cocktails que “serve misturas deliciosas em tubos de ensaio”. No topo, os visitantes podem apreciar as vistas da cidade, sentados em assentos de vidro pendurados no tecto.

Museu do Cogumelo, França

Este local foi descoberto pelo The Guardian durante um passeio familiar. Localizado na Cave des Roches, a leste de Tours, esta atracção envolve “um fascinante e bizarro passeio entre cavernas pelo mundo dos cogumelos franceses“. Outrora uma antiga pedreira, este Museu dos Cogumelos tem sete níveis subterrâneos para explorar, capazes de tornar qualquer visitante num fã deste fungo.

Museu do Gato, Holanda

Localizado em Amesterdão, este museu dedicado especialmente aos gatos cativou o jornal britânico, pela “exploração do papel do gato na arte e na cultura ao longo dos séculos”. Especial destaque para o felino JP Morgan que inspirou o fundador, Bob Meijer, a criar este museu e que, no seu 15º aniversário, recebeu notas de dólar dos Estados Unidos em sua homenagem, com a cara de um gato ao invés do rosto de George Washington.

Parque de Esculturas, Lituânia

O último elemento desta lista fica no sul da Lituânia, num “cenário bonito de floresta”. Espalhados por um jardim imenso estão várias esculturas em homenagem a nomes conhecidas da era soviética, como Marx, Stalin e Lenin, que foram “resgatadas depois de terem sido abandonadas pelo dono após a queda do comunismo”, escreve o The Guardian.